Comment bannir la frustration et devenir une entrepreneure épanouie ?

Comment bannir la frustration de son entreprise pour être pleinement épanouie quand on est à son compte ?

En tant qu’entrepreneure, vous est-il déjà arrivé de ressentir un manque ou des frustrations ? Que vous soyez entrepreneure débutante ou expérimentée, votre activité n’est peut-être pas source de satisfaction, d’enthousiasme et de prospérité, n’est-ce pas ?

L’erreur que font la majorité des femmes entrepreneures ou micro-entrepreneurs est de croire être leur entreprise. Ils s’épuisent à porter toutes les responsabilités et surtout le poids des décisions.

Je me souviens avant de m’ouvrir à l’énergie de mon entreprise à quel point prendre une décision était un casse-tête ! Et mon besoin de trouver ma propre spécificité. Qu’est ce que j’apporte au monde ? Notre entreprise porte alors une énorme responsabilité : celle de notre épanouissement personnel…

Dans cet article, je vous explique les 5 erreurs qui font que vous n’êtes pas épanouies comme entrepreneure alors que vous avez la chance de travailler à votre compte, quelque soit le statut de votre entreprise. Retrouvez dans cet article des solutions pour bannir la frustration de votre entreprise !

 

Pourquoi vous n’êtes pas épanouie comme Comment bannir la frustration de son entreprise et être épanouie ?entrepreneure ?

Vous avez peut-être perdu le sens, le « feu sacré ». Vivre des périodes de remise en question fait parti du chemin d’entrepreneur. La perte de sens est aussi ce qui vous permet d’incarner votre singularité.

 

1. Vous voulez que votre entreprise soit financièrement autonome.

Vous vous dépêchez de développer votre entreprise pour gagner de l’argent et enfin faire autre chose ?

Certains entrepreneurs ont comme motivation de faire de l’argent. D’autres cherchent la liberté d’être et de contribuer. Les uns et les autres veulent rendre leur entreprise autonome rapidement. Par exemple, en  faisant en sorte que l’entreprise génère des revenus passifs pour pouvoir libérer du temps au plus vite et se consacrer à d’autres projets plus épanouissants.

Cette méthode engendre un manque d’enthousiasme et de satisfaction. Votre entreprise devrait être pleinement source de réalisation. Et pas uniquement une structure sur laquelle vous vous reposez pour pouvoir concrétiser vos passions en dehors.

→ Le vrai sujet ici est le besoin de s’autoriser à être heureuse et réussir. Faites-vous partie de ces entrepreneurs qui reportent ce qui les fait vibrer à plus tard ? Et s’il n’y avait pas besoin de choisir… ?

 

2. Vous ne mettez pas tous vos potentiels au service de votre entreprise.

Vous êtes une personne multi potentiels et vous vous reconnaissez dans la définition du « slasher » ?  Mais vous croyez devoir choisir une casquette pour votre entreprise et finalement vous vous sentez restreint dans votre potentiel. Ou encore, vous pensez devoir investir d’abord sur un projet intermédiaire avant de faire ce qui vous motive le plus (en mode « avant de jouer, va faire tes devoirs ! »)

Le succès de votre entreprise résulte de votre alignement intérieur et de la cohérence entre vos aspirations profondes, votre entreprise, vos actions.

Tant que croyez qu’une partie de vos talents ou de vos rêves doivent rester en dehors de l’entreprise, vous ne pourrez pas vous y épanouir. Votre entreprise devient un coût en temps, en énergie, en argent et vous tombez dans le piège du sacrifice.

→ Le vrai sujet ici est de vous demander quelle entrepreneure vous voulez devenir et pourquoi ? Puis, créez l’entreprise qui vous ressemble.

 

3. Votre niveau d’énergie et votre motivation sont instables.

Beaucoup d’entrepreneurs croient devoir « donner » à leur entreprise jusqu’à ce qu’ils.elles s’épuisent ou perdent le sens. Le fondateur d’une entreprise est aussi sa « source » et le gardien de sa vision. Tout ce que le fondateur fait, l’entreprise entrera en résonance avec ces habitudes. Cela peut créer une relation à l’entreprise de dépendance et d’emprise.

→ Le vrai sujet ici est l’importance de connaître vos besoins dans toutes les sphères de votre vie afin d’y aligner votre entreprise. Et surtout, d’identifier comment nourrir vos besoins en dehors de l’entreprise. 

Pour vous y aider, j’offre 3 séances par mois et vous pouvez simplement répondre à ces questions pour en bénéficier.

4. Vous vous épuisez dans des actions sans résultats.

Vous avez l’impression de porter trop de responsabilités et d’être seule à gérer votre activité ? Vous avez l’impression que personne ne peut vous comprendre ? C’est vrai. Il est difficile d’être entrepreneure solo et de devoir prendre toutes les décisions de son entreprise.

Beaucoup d’entrepreneures se plaignent de ne pas avoir de résultat ou de feedback à leurs actions (et à leurs posts sur les réseaux sociaux). D’autres attirent des opportunités qui n’ont pas forcément de cohérence avec leurs aspirations profondes. Pire encore, elles s’épuisent à y répondre par peur de manquer d’argent et de client.

Cela vient probablement d’un manque de clarté par rapport à votre propre potentiel et à la mission de votre entreprise.

→ Le vrai sujet ici est votre relation à l’argent qui influence vos priorités. Vous n’assumez pas vraiment votre puissance, votre singularité. 

Pour vous aider dans votre transformation, découvrez mes programmes en ligne.

 

 

5. Vous vous sentez bloquée et vous avez perdu le sens de votre entreprise.

Plusieurs fois sur mon chemin d’entrepreneure, j’ai perdu le sens et la motivation de ce que je faisais. Je m’étais déconnectée de mon « pourquoi ». Perfectionniste que je suis, je retombais dans mes travers jusqu’à réaliser que l’énergie de mon entreprise n’était plus en cohérence avec mes aspirations et ce qui me rend heureuse.

Et surtout, le cap des 10 ans d’entrepreneure m’a appris que mon « pourquoi » pouvait évoluer.

Si tel est votre cas, la vibration énergétique de votre entreprise n’est sans doute pas alignée à votre potentiel ou ce pour quoi vous êtes véritablement faite.

→ Le vrai sujet ici est que vous ne connaissez pas votre véritable « pourquoi ». Et encore moins que votre entreprise y est déjà alignée… mais qu’elle vous attend ! 

Pour aller plus loin et vous aligner à votre « pourquoi », bénéficiez d’une des 3 séances offertes chaque mois en répondant aux questions ici

BONUS : Vous nourrissez le doute et le syndrome d’imposteur

Découvrez la suite en video :

4 commentaires

  1. Bonjour Ombeline,

    J’espère que ta jambe se remet au mieux.

    Notre rencontre du 18 approchant, je me dis que te parler un peu de ma situation peut t’être utile pour préparer ta journée et aussi, étant en arrêt de travail j’ai du temps pour le faire 🙂

    Nous nous étions rencontrées chez toi à Jongny en 2016 (2017?), j’étais au chômage et je ne voulais plus continuer mon job d’animatrice avec les personnes âgées. J’avais en moi une forte envie d’indépendance de longue date sans avoir de véritable passion et donc sans vraiment savoir qu’est-ce que je pourrais créer comme entreprise. Mon idée à ce moment-là, c’était de créer un centre de loisirs pour seniors car j’avais un peu l’impression à cette époque que c’était l’univers que je connaissais le mieux.
    Depuis, je chemine péniblement. J’ai repassé par des jobs qui ne me plaisaient plus, j’ai développé mon projet seniors avec le soutien du chômage et j’ai été jusqu’à le présenter devant la municipalité d’une commune puis ça n’a pas abouti, c’était trop énorme, trop innaccesible.
    Par la suite, j’ai dégringolé, je suis arrivée en fin de droit, je me suis retrouvée sans revenu à faire des ménages et des petits jobs. C’est mon compagnon qui a subvenu à mes besoins financiers, chose qui n’a fait que renforcer mon sentiment de ne rien valoir et d’être incapable de m’en sortir seule (en plus face un homme), affreux…!

    Puis, depuis l’été dernier j’ai retrouvé un job dans lequel je me sens à l’opposé de ma place (accueil extrascolaire) mais qui m’assure un minimum de sécurité financière et m’a permis de retrouver un peu de dignité grâce à une certaine stabilité et à un contexte favorable dans une équipe de travail sympa.
    Bien sûr, je ne m’y retrouve pas et j’y reste seulement car il est exclu que je re-dégringole. Je veux impérativement garder ma sécurité, c’est vital.

    Actuellement en arrêt de travail pour vertèbre fracturée et traversant des démarches pas très rigolotes pour une prochaine intervention aux 2 seins dans le but d’extraire des zones d’apparence bégnines, j’ai largement l’occasion de me dire que la vie m’envoie des gros messages afin que je continue un peu autrement…

    Au milieu de ce tsunami durant ces dernières semaines, j’ai appris par hasard qu’une épicerie de produits en vrac ouverte depuis peu à deux pas de chez moi était à remettre. Alors, j’ai prudemment poussé la porte (la énième…) en me disant que je ne pouvais pas ne pas la pousser! ! Depuis, je passe par les habituels doutes, peurs et sentiments d’incapacité et patati et patata!
    Tenir un magasin en vrac, ce n’était pas du tout mon trip pourtant dans mes bons moments l’idée me plaît, je peux me visualiser là-dedans avec joie et certains aspects correspondent à certaines de mes compétences mais…. je n’ai pas l’argent pour le reprendre et le développer puis ça ne semble pas viable financièrement (1 an d’exploitation et aucun revenu, juste charges couvertes)!
    Et surtout, tellement d’heures de travail pour peut-être juste tourner!? Je n’ai pas envie de ça. Je ne suis pas très résistante, plutôt hypersensible, vite fatiguée, dans mes jobs je suis toujours au bout du rouleau même en travaillant à des petits pourcentages! Je me dis que peut-être ces jobs m’épuisent et que l’indépendance me porterait? Mais souvent j’en doute.

    Voilà Ombeline, j’espère que je ne me suis pas trop étalée et que mes phrases ne sont pas trop brouillon, j’ai un peu envoyé ça comme ça, comme c’est venu et je te remercie déjà de me lire, sincèrement.

    Au plaisir de m’immerger dans l’énergie du 18 🙂

    Belle journée et à bientôt

    Carine

    • Chère Carine, merci de partager ton parcours qui résonnera certainement avec d’autres personnes en questionnement, qui ressentent qu’elles sont appelées à contribuer sans savoir encore comment. Là où je t’accompagnerai en priorité serait de libérer ce besoin de sécurité que tu écris « vital »… Es-tu vraiment certaine que ce soit la sécurité qui te soit vitale ? Les maux de ton corps physique semble montrer que ta vitalité est touchée malgré ce travail qui ta »porte une « securité »… Comment cela résonne pour toi ?

  2. Oups, j’ai pas réfléchi à l’endroit où j’écrivais!
    Mon texte sera-t-il lu par d’autres?
    Ce n’était pas mon but du tout mais si ça peut servir!

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